Les deux moteurs déconseillés par un inspecteur de ITV pour des véhicules neufs, bien qu’un ait encore son mérite

Le choix du moteur approprié pour un nouveau véhicule peut être déterminant non seulement en termes de performance, mais aussi pour réussir la CTC. Deux moteurs en particulier ont été déconseillés par un inspecteur de CTC, bien que l’un d’eux, malgré ses inconvénients, possède certains mérites qui méritent d’être soulignés.

Dans le domaine des contrôles techniques des véhicules (CTC) et de la réglementation qui les régit, les moteurs jouent un rôle crucial. Un inspecteur de CTC expérimenté a signalé deux moteurs qui, selon lui, ne sont pas recommandables pour les nouveaux véhicules. Cependant, l’un de ces moteurs conserve encore certains mérites qu’il vaut la peine de souligner. Dans cet article, nous analysons pourquoi ces moteurs sont déconseillés et quelles qualités peut avoir l’un d’eux.

Le premier moteur déconseillé : Manque d’efficacité et forte émission de gaz

Le premier moteur qui a été déconseillé par l’inspecteur de CTC est connu pour son manque de d’efficacité et pour ses fortes émissions de gaz polluants. Dans un contexte où les réglementations sur les émissions sont devenues plus strictes, un moteur qui ne respecte pas ces exigences peut causer des problèmes significatifs au moment de passer la CTC.

La réglementation en vigueur, comme le Décret Royal 920/2017, établit des limites claires pour mesurer les émissions des véhicules. Pour les véhicules immatriculés à partir du 1er juillet 2008, la limite est de 1,5 m-1. Si votre voiture est antérieure, la limite passe à 2,5 m-1. Un moteur qui ne parvient pas à se maintenir dans ces paramètres va rencontrer des difficultés et des risques supplémentaires de rejet lors des contrôles.

Impact environnemental et réglementaire

L’impact environnemental est une autre considération importante. Les inspecteurs de CTC mentionnent que ce type de moteur n’a pas seulement des problèmes en termes de réglementation, mais contribue également de manière significative à la pollution de l’air. Avec la pression mondiale croissante pour adopter des pratiques plus durables, opter pour ce moteur peut être contre-productif à court comme à long terme.

Le deuxième moteur déconseillé : Faible fiabilité mais avec mérite

Le deuxième moteur qui a été marqué par les inspecteurs de CTC présente des problèmes de faible fiabilité. Ce moteur, bien qu’initialement attrayant en raison de ses faibles émissions et de sa consommation efficace, a démontré des pannes mécaniques répétées qui affectent ses performances. Cette usure prématurée se traduit par des coûts de maintenance plus élevés et une plus grande probabilité de ne pas réussir les contrôles périodiques.

Emissions et efficacité

Malgré ces problèmes de fiabilité, ce moteur continue d’avoir certains mérites que les consommateurs ne devraient pas ignorer. Ses faibles émissions et son efficacité énergétique sont des facteurs très appréciés. Ces qualités le rendent idéal pour ceux qui recherchent une alternative plus écologique et économique en termes de consommation de carburant.

Les considérations réglementaires, notamment en ce qui concerne les tests d’émission de gaz, constituent un fort argument en sa faveur. La réalité est que, s’il est correctement entretenu, ce moteur a le potentiel de passer les tests d’émissions sans problème, ce qui lui donne un certain avantage par rapport à d’autres moteurs moins écologiques.

Conclusion des inspecteurs

En conclusion, bien que ces deux moteurs aient été déconseillés dans le cadre de la CTC pour les nouveaux véhicules, il est important d’analyser les raisons en détail. Le premier moteur échoue en matière d’efficacité et d’émissions, tandis que le second combat des problèmes de fiabilité mais conserve des mérites en termes de consommation et d’émissions. Au final, le choix d’un moteur doit toujours être bien informé et prendre en compte à la fois les recommandations réglementaires et les besoins individuels de l’utilisateur.

Moteurs déconseillés par les inspecteurs de CTC pour les nouveaux véhicules

Le choix du moteur d’un nouveau véhicule est crucial pour éviter des problèmes lors du contrôle technique des véhicules (CTC), et selon les inspecteurs de CTC, deux moteurs se distinguent négativement à cet égard. Le premier est le moteur diesel de petite cylindrée, connu pour ses fortes émissions de gaz polluants. Ces moteurs ont souvent des difficultés à respecter les limites de opacité exigées par la réglementation, notamment pour les véhicules immatriculés après le 1er juillet 2008, dont la limite est de 1,5 m-1. Pour les véhicules plus anciens, la limite est de 2,5 m-1, mais ces moteurs échouent souvent aux tests.

D’autre part, les vieux moteurs à essence mal entretenus représentent une autre option déconseillée. Bien que ces moteurs aient pu être efficaces à un moment donné, avec le temps et sans un entretien adéquat, ils ont tendance à dépasser les limites d’émissions autorisées. La réglementation actuelle est stricte concernant les émissions, et ces moteurs échouent souvent à passer la CTC en ne respectant pas les normes modernes. De plus, au fur et à mesure qu’ils vieillissent, leur performance et leur efficacité sont également affectées, ce qui augmente encore plus les chances d’échec lors de l’inspection.

Malgré les inconvénients mentionnés, l’un de ces moteurs a encore son mérite. Les moteurs diesel de petite cylindrée, bien qu’ils soient problématiques en termes d’émissions, sont connus pour leur efficacité en matière de consommation de carburant. Pour les utilisateurs qui parcourent de nombreux kilomètres chaque année, surtout sur autoroute, ces moteurs peuvent offrir une économie significative sur les coûts de carburant. De plus, les avancées technologiques continuent d’améliorer ces moteurs, donc dans certains nouveaux modèles, les émissions pourraient être suffisamment maîtrisées pour respecter la réglementation CTC. Cependant, il faut être très vigilant et opter pour des versions qui incorporent déjà ces améliorations technologiques et respecter un entretien rigoureux.